«L'As de Pecq», le nouveau bulletin communal consacré à l'entité pecquoise sera délivré cette semaine dans les boîtes aux lettres

«L'As de Pecq», le nouveau bulletin communal consacré à l'entité pecquoise sera délivré cette semaine dans les boîtes aux lettres

«L'As de Pecq», le nouveau bulletin communal consacré à l'entité pecquoise sera délivré cette semaine dans les boîtes aux lettres

À présent finalisé, le premier document de 20 pages a été envoyé à l'impression.

Il a longuement été réclamé par les citoyens et les membres des différents partis politiques. Il s'est fait attendre mais il est à présent disponible. 'L'As de Pecq', le nouveau bulletin communal consacré à l'entité pecquoise sera délivré ces mercredi et jeudi dans les 2.585 boîtes aux lettres de l'entité.

"Quelques jours après la sortie de la revue « Alors on sort ? », qui reprend l’agenda des activités organisées au sein de la commune, nul doute que ce bulletin communal sera positivement accueilli. Nous aurions aimé qu’il se réconcilie plus vite avec nos citoyens, mais il faut parfois s’armer de patience malheureusement", explique le bourgmestre, Aurélien Brabant.

"Un outil que nous avons souhaité professionnaliser et dépolitiser au maximum"

À l'image d'une gazette, on y retrouve en son sein différents articles en lien avec l'actualité de la commune, des portraits (celui de ce premier numéro est consacré à la nouvelle commissaire de la zone de police du Val de l'Escaut, Gwendoline Defgnée), des informations pratiques, des photos ainsi qu'une carte blanche offerte aux quatre partis représentés au sein du conseil communal. Le tout est intelligemment agencé et illustré pour permettre une lecture fluide et agréable.

'Il s’agit d’un outil que nous avons souhaité professionnaliser et dépolitiser au maximum, et qui complète tout ce que nous mettons en place sur les réseaux, le site web et au travers des nombreuses rencontres citoyennes', poursuit le bourgmestre.

L'As de Pecq sera distribué tous les trois mois. Il représente un coût de 3000€ par tirage au frais de l'administration communale.


Sébastien Lippens