Un deuxième radar est en cours d'acquisition par la zone de police du Val de l'Escaut

Ce radar équipera l'un des 11 boitiers disséminés sur les 4 communes qui font partie de la zone de police du Val de l'Escaut, à savoir Celles, Estaimpuis, Mont-de-l'Enclus et Pecq.
Un second cinémomètre va prochainement compléter la seule unité de mesure de vitesse des véhicules que dispose la zone de police du Val de l'Escaut. Celui-ci ne sera pas installé définitivement dans l'un des onze boitiers répartis sur les quatre entités. "Il changera de position régulièrement, au même titre que le radar que nous possédons actuellement", nous a confirmé le commissaire divisionnaire et chef de zone, Dominique Debrauwere.
Trois nouveaux poteaux prochainement installés
La Région wallonne a récemment accepté une demande de subsides pour l'installation de trois nouveaux poteaux. Leur localisation n'est pas encore connue mais le conseiller de l'opposition René Smette (Pecq Autrement) espère que l'un d'eux occupera un emplacement bien précis sur l'entité de Pecq. "Je pense personnellement que c'est une bonne chose qu'un radar fixe soit installé à l'entrée de Pecq sur le RN50, en lieu et place du Lidar qui pourra peut-être être utilisé ailleurs".
9 radars préventifs bientôt dépoussiérés?
"Mais si la répression a son utilité, la prévention est également importante", a poursuivi le conseiller communal pecquois. "Il y a pratiquement un an, j'avais lancé un de mes derniers bons de travail consistant en l'installation de 9 radars préventifs dont dispose la commune, en spécifiant les endroits où ils devaient être installés et les vitesses à contrôler. J'avais d'ailleurs adressé un mail à l'échevin des Travaux et de la Mobilité. Depuis, comme soeur Anne, on ne voit rien venir. Quelle est la raison de cette absence?"
"Ces radars préventifs sont dans la cave et sont toujours inutilisés" a avoué le bourgmestre Aurélien Brabant qui a également affirmé ne pas connaitre les raisons pour lesquelles ils n'ont jamais été installés. "Mais nous allons travailler à ce problème. Il est temps que ces unités soient dans nos rues."
S.Lippens