Daniel Senesael réagit aux rumeurs dans l'affaire padel : «La commune ne va pas racheter la maison de la voisine»

Daniel Senesael réagit aux rumeurs dans l'affaire padel : «La commune ne va pas racheter la maison de la voisine»

Si une solution est sur le point d'être trouvée, la commune qui a pensé à racheter la maison de Marine Baert a laissé tomber cette possibilité.

Daniel Senesael réagit aux rumeurs dans l'affaire padel : «La commune ne va pas racheter la maison de la voisine»

Ce samedi soir, le bourgmestre d'Estaimpuis, Daniel Senesael, nous présentait fièrement la "surprise" de sa liste en vue des élections communales : Marine Baert, la voisine du padel figurera en deuxième position. Une place qui la promet quasiment à un échevinat.

Lors de cette conférence de presse, le maïeur a fait son mea culpa dans ce dossier qui a impacté la qualité de vie de plusieurs riverains. "J'assume l'entière responsabilité de cette erreur. Si nous respectons la volonté de l'électeur, elle sera échevine et elle pourra répondre à la volonté qui est la mienne pour que demain soit meilleur qu'hier et que nous ne commettions pour ce genre d'erreur". À la suite cela, Daniel Senesael nous indiquait qu'une solution avait été trouvée dans le litige triangulaire qui opposait Marine Baert, la commune d'Estaimpuis et le gérant du club de padel. "Cela devrait être réglé d'ici 15 jours, le temps d'apposer les dernières signatures" ajoutait alors le bourgmestre.

Une hypothèse qui n'est plus d'actualité

Durant ces nombreux mois de conflit, plusieurs pistes avaient été évoquées : le déplacement des terrains de padel dans le zoning de l'Impact ou dans le parc d'Estaimbourg, la création d'un mur anti-bruit, le rachat des terrains par la commune pour en faire profiter les écoles,...

Depuis quelques jours, c'était une autre rumeur qui circulait dans les rues d'Estaimpuis : la commune procéderait au rachat de la maison de la voisine. Une solution qui a en effet été étudiée par les autorités : "cette hypothèse avait été émise mais elle n'est plus d'actualité. On est occupé de trouver une solution mais ça ne sera donc pas celle-là."


Théo Defranne