Estaimpuis : la commune veut élargir la capacité d'accueil de la crèche communale de 13 places

Estaimpuis : la commune veut élargir la capacité d'accueil de la crèche communale de 13 places

Estaimpuis : la commune veut élargir la capacité d'accueil de la crèche communale de 13 places

C'est dans le cadre de l'appel à projets du plan Cicogne que les autorités estaimpuisiennes vont déposer leur candidature.

Lors du conseil communal de ce lundi, les élus estaimpuisiens ont été amenés à approuver la candidature de la commune dans le cadre du plan Cigogne 2021-2026.

La Fédération Wallonie-Bruxelles, la Wallonie, la Région de Bruxelles-Capitale et la COCOF ont en effet conclu des accords visant à subventionner en commun la création de plus de 5.200 places en crèches dans les années à venir. Après un premier volet de l'appel à projets, 1.386 places restent à répartir en Fédération Wallonie-Bruxelles, dont seulement 25 pour l'arrondissement Tournai-Mouscron.

Si le projet se veut intéressant (13 nouvelles places seraient créées dans la crèche existante au niveau de la place d'Estaimpuis), il va donc être difficile d'être retenu vu le faible nombre de places qui sont accordées par le plan Cigogne à notre région. D'autant plus que d'autres communes ont également d'ores et déjà rentré des dossiers.

Quoi qu'il en soit, on se veut confiant dans la réalisation de ce projet à Estaimpuis. L'ensemble du conseil communal se positionnant pour le dépôt de la candidature pour l'entité.

Promouvoir l'accueil à domicile

Durant ce point, le débat s'est prolongé pour mettre sur la table le problème de l'accueil à domicile. Xavier Adam (Ecolo) a rappelé que les accueillantes sont de moins en moins nombreuses et qu'il serait intéressant de travailler sur cette problématique.

En l'absence du bourgmestre, c'est le 1er échevin Quentin Huart qui a répondu : "C’est vrai qu’il y en a de moins en moins et beaucoup ont arrêté lors des derniers mois. C’est de plus en plus compliqué. Ça serait en effet intéressant de développer cette possibilité d’accueillantes."


Théo Defranne