Frontière franco-belge : une véritable barrière physique pour les forces de l'ordre

Frontière franco-belge : une véritable barrière physique pour les forces de l'ordre

Qui dit frontière dit circulation de la criminalité. Or, si les faits graves permettent aux forces de l'ordre de passer d'un pays à l'autre, les petits faits de délinquance qui créent le sentiment d'insécurité ne sont, eux, pas concernés par cette possibilité. Une situation particulière qui peut poser problème en Wallonie picarde, une région composée de 9 communes frontalières sur les 23 qui la composent.

Retrouvez ce reportage intégré à notre émission Samedi+ dans laquelle était invité Daniel Senesael, député-bourgmestre de la commune d'Estaimpuis.