200 poupées K-Doll offertes au CHwapi

200 poupées K-Doll offertes au CHwapi

200 poupées K-Doll offertes au CHwapi

Ces poupées sont destinées aux enfants hospitalisés et aux enfants dont un proche est gravement malade.

Le centre hospitalier de Wallonie picarde a reçu 200 petites poupées K-Doll de la part des clubs Kiwanis " Princesses d'Espinoy " et " Tournai Picardie ". Ces poupées sont destinées aux enfants hospitalisés et aux enfants dont un proche est gravement malade.

"Elles permettent aux soignants, aux psychologues et aux médecins d'expliquer les traitements aux petits, entre autres. Chaque enfant peut personnaliser sa poupée en coton qui devient un peu son doudou, son ange gardien. Les membres des deux clubs Kiwanis ont ainsi donné suite, avec beaucoup d'enthousiasme, à une demande des psychologues du CHwapi", explique le centre hospitalier.

"Nous avions vraiment à coeur de mettre tous les moyens dont nous pouvons disposer au service des enfants en souffrance afin de leur apporter un peu de réconfort, de sérénité et de bonheur ", confient Nelly Moreau et Jean-Marc Mahut, en charge des actions sociales du Kiwanis local.

"Un support de communication et d'expression des émotions"

"Les poupées constituent un formidable outil aux multiples fonctions. Elles sont, pour l'enfant, un support de communication et d'expression des émotions. Leur neutralité permet à chacun de se les approprier, de les personnaliser. La poupée peut ainsi devenir une foule de personnages suivant la créativité, le monde imaginaire et les préoccupations de l'enfant", précisent les psychologues du CHwapi.

Les psychologues du service d'oncologie du CHwapi annoncent qu'elles utiliseront les poupées durant leurs consultations et les déposeront dans le service de pédiatrie ainsi que dans les chambres d'oncologie, des soins palliatifs et des soins intensifs où les patients sont susceptibles de recevoir la visite d'enfants. " Les poupées donnent aussi l'occasion de sensibiliser les adultes au vécu des plus petits, de les inviter à penser la façon dont l'enfant est concerné par rapport à la maladie de son proche. Enfin, elles favorisent un accueil chaleureux dans les services hospitaliers, un moment de complicité en chambre".


J.C.