La Commission des recours refuse le permis introduit par la SPRL M&N Store afin de réaménager l’ancien site Diaprint situé sur le zoning des Primevères.

La Commission des recours refuse le permis introduit par la SPRL M&N Store afin de réaménager l’ancien site Diaprint situé sur le zoning des Primevères.

En septembre dernier, le fonctionnaire des implantations commerciales et le fonctionnaire délégué de la Région ont refusé le permis. La société M&N Store avait introduit un recours.

La Commission des recours refuse le permis introduit par la SPRL M&N Store afin de réaménager l’ancien site Diaprint situé sur le zoning des Primevères.

La Commission des recours vient de refuser le permis intégré demandé par la société M&N Store basée à Courcelles. Cette société, qui a acquis le site de l’ancienne imprimerie Diaprint, souhaite démolir une partie des bâtiments existants pour reconstruire d’une part, une salle destinée au football indoor et d’autre part, un immeuble pouvant accueillir six cellules commerciales. Lors de l’enquête publique qui a eu lieu en septembre, aucune contestation n’a été reçue. Le collège communal, quant à lui, avait émis un avis favorable conditionné. Le collège demandait entre autre que les commerces accueillis soient des commerces qui ne peuvent pas trouver leur place en intra murros. Le projet permettrait en outre de réhabiliter un chancre puisque la société Diaprint a fait faillite en 2012 et que depuis, les lieux sont à l’abandon.

En septembre dernier, le fonctionnaire des implantations commerciales et le fonctionnaire délégué de la Région ont refusé le permis. Si le recours introduit par la société M&N Store a été jugé recevable par la Commission des recours, celle-ci vient de refuser d’octroyer le permis intégré. Une décision qui se base notamment sur l’avis émis par l’observatoire du commerce qui considère entre autre que cette zone n’est pas propice au développement de commerces et que ce projet engendrerait la création d’une nouvelle polarité commerciale décentrée. La Commission des recours déplore également le manque de précisions par rapport aux enseignes qui pourraient s’y installer et le manque d’aboutissement du projet.


Amélie Deconninck