Rumes : une aide financière pour les clubs sportifs, les mouvements de jeunesse et les écoles

Rumes : une aide financière pour les clubs sportifs, les mouvements de jeunesse et les écoles

Le conseil communal de Rumes a voté ce lundi soir en faveur de plusieurs mesures compensatoires liées à la crise sanitaire.

Rumes : une aide financière pour les clubs sportifs, les mouvements de jeunesse et les écoles

Après un couac technique jeudi dernier, le conseil communal de Rumes a finalement pu se tenir ce lundi soir. Parmi les points abordés, le collège a soumis à l’approbation une proposition de mesures compensatoires liées à la crise sanitaire en faveur des clubs sportifs, des mouvements de jeunesse et des écoles. Pour les clubs sportifs et les mouvements de jeunesse, cette mesure compensatoire prévoit une indemnisation de 500€ pour les associations comptant entre 10 et 39 membres et 750€ pour celles de plus de 40 membres.

Pour les 5 écoles présentes sur l’entité, l’indemnisation est également fixée à 750€.

Ces mesures ont été adoptées à l’unanimité.

La taxe sur les déchets ménagers inchangée

Les élus communaux ont également été amenés à voter plusieurs taxes dont celle sur les déchets ménagers. Celle-ci restera inchangée pour l’année 2021. Elle s’élèvera à 70€ pour un ménage isolé, 121€ pour un ménage de 2 personnes, 127€ pour un ménage de 3 personnes, 132€ pour un ménage de 4 personnes, 70€ pour les commerces et indépendants et, finalement, 121€ pour les résidences secondaires.

Le nombre de sacs poubelles distribués ainsi que leur prix restent également inchangés.

Le groupe d’opposition PS a décidé de voter contre cette taxe. Pour ses membres, et afin de soutenir la population lors de cette période de crise, la commune aurait pu diminuer de 5€ l’ensemble des taux de la taxe sur les déchets ménagers sans mettre en danger l’équilibre des finances communales. Une proposition rejetée par le groupe de majorité I.C. Pour l’échevin des finances Jérôme Ghislain, il convient de laisser la taxe inchangée afin d’anticiper les années « pas forcément roses » à venir.


Benoît Deplasse